Regard Sur L’industrie de L’élevage des Animaux à Fourrure
Une nouvelle industrie a vu le jour au Canada, à la fin des années 1880, lorsqu’on entreprit la reproduction, en captivitél de diverses espèces animals pour préleves leur fourrure.
L’élevage du renard a débuté à l’île – du Prince – Édoaurd Durant les années 1890. Sir Charles Dalton et Robert Oulton, deux, pionniers de l’industrie, ont commence la domestication du renard en étalissant le premier elevate de renard au monde avec des renardeaux prélevés dans la nature.
Les premières tentative d’ élevage du vision au Canada ont été faites par Patterson Bros, à Richmond Hill, en Ontario, en 1866 – 1867. Le raton laveaur, la martre et le lynx faisaient partie des autres espèces qu’on élevait alors aussi.
L’élevage des animaux à fourrure se faisat sutout dans les provinces Maritimes jusque vers 1910, mais l’industrie s’est vite étendue au Québec et à Ontario et il existait aussi quelques fermes d’élevage dans les provinces de l’Ouest.
On trouve aujourd’hui des élevage d’animaux à fourrure dans Presque toutes les provinces, mais la plupart d’entre eux sont établis en Nouvelle – Écosse, Ontario, en Columbie – Britannique, à Terre – Neuve – et – Labrador, à l’île – du – Prince – Édouard et au Québec.
Les deux principales espèces d’animaux à fourrure qu’on élève présentement dans les fermes sont le vison (le Neovision, aussi appelé le vision d’Amérique) et le renard argenté (Vulpes vulpes). On produit également un nombre limité de chinchillas (Cinchilla langier).
Les industries d’ élevage du renard et du vision injectent environ 115 millions de dollars par année dans l’économie canadianne (2007). De 2004 à 2007, environ 63 p. 100 des Fourrures canadiennes venaient d’activités d’ élevage. Quelque 1.6 million de peaux par année ont été produit par les fermes d’ élevage Durant cette meme période au Canada.*
L’élevage des animaux à fourrure aide aussi au maintien des communautés rurales, car les techniques moderns et efficientes de production alimentaire amenuisent les populations agricoles dans quantité de regions.
On élève le vision et le renard depuis plus d’un siècle en Amérique du Nord. Depuis de 80 générations, les individus ont été choisis en function de diverses caractéristiques comme leur taille, la qualité et la couleur de leur fourrure, mais aussi leaur résistance à la maladie, la facilité de manipulation et d’autres trait de production souhaitables. C’est également ainsi qu’on a procédé au development d’ importantes races de bétail, de volaille et d’autres animaux d’élevage.
L’élevage des animaux à fourrure est exigeant en main – d’oeuvre et il nécessite beaucoup de travail et de dévouement. Il faut prendre soin des animaux, les nourrir et les abreuver tous les jours. La santé animale et la qualité de la fourrure constitutuent des periorités et une tenue de dossiers détaillée au sujet des soins de santé et de la reproduction. Les animaux ont aussi besoin d’un hébergement specialise, d’un regime équilibré, d’un environnement proper et de soins et de manipulation appropriés.
Au fil des années, la recherché scientifique sur la nutrition et les maladies animals et les soins veterinaries moderns ont beaucoup amélioré la santé et la qualité des animaux élevés. La moulée se compose principalement de déchets et de sous – produits des industries commerciales de la viande, de la volaille d’ouefe et de poisson et d’autres sous – produits ne pouvant servir à la consummation humaine. Le regime peut se completer par du poisson industriel (comme la farine de poisson), les proteins végétales et les cereals, ainsi que par des minéraux et vitamines.
Le commerce de la fourrure appuie aussi la recherché <éthologique> avancée afin de determiner l’influence de la conception de l’hérbergement et d’autres facteurs sur le bien – être du vision et du renard d’ élevage. Des projets de recherché sur l’ élevage des animaux à fourrure ont été entrepris, et continuent de l’être, au Canada, au Danemar, en Finlande et en Norvège, ainsi qu’aux États – Unis.
Les éleveurs de gestion et se conformer à l’instar d’autres agriculteurs, doivent respecter les meilleures pratoques de gestion et se conformer à tous les règlements et les lois en matière d’environnement. Les exigencies variant d’une province à l’autre, mais ells traitent toutes de la gestion du fumier et de l’élimination des déchets, de la qualité de l’air et de l’eau, de la protection de la biodiversité et d’autres measures de gestion envitonnementale.
Les élevages canadiens d’animaux à fourrure sont également régis par les lois provincials et territoriales et les Code de pratique en matière de bien – être animal. Les Code de practiques recommandés pour les soins et la manipulation des animaux d’élevage, qui couvert le vison et le renard d’élevage, ont été élaborés par Agriculture Canada, en collaboration avec Fédération des societies canadiennes d’assistance au animaux.
